Trudeau a fait du Canada un état vassal de la Chine
Les politiques de Trudeau font des universités canadiennes le berceau de l'exploit technologique de la Chine.

La démocratie canadienne sous Justin Trudeau est devenu, pour paraphraser le célèbre adage d’Abraham Lincoln : « du Parti communiste chinois, par le Parti communiste chinois et pour le Parti communiste chinois. »
Malgré le fait que les Canadiens ont de nombreuses raisons de ne pas aimer et de craindre la Chine, leur premier ministre semble avoir une foi enfantine dans le pays. Aujourd’hui, le Canada est presque devenu analogue à un État vassal de la Chine.
Selon des rapports, les universités canadiennes collaborent depuis des années avec une institution scientifique de premier plan de l’armée chinoise sur des centaines de projets de recherche en technologie de pointe, générant des connaissances qui peuvent aider à dynamiser le secteur de la défense chinois dans les industries de pointe et de haute technologie.
Des chercheurs de 50 universités canadiennes, dont l’Université de Waterloo, l’Université de Toronto, l’Université de la Colombie-Britannique et l’Université McGill, ont mené et publié des articles scientifiques conjoints de 2005 à 2022 avec des scientifiques liés à l’armée chinoise, selon une étude de la société américaine de renseignement stratégique. Strider Technologies inc.

Strider a constaté qu’au cours des cinq dernières années, des universitaires de 10 des principales universités canadiennes ont publié plus de 240 articles conjoints sur des sujets tels que la cryptographie quantique, la photonique et les sciences spatiales avec des scientifiques militaires chinois de la National University of Defence Technology (NUDT). Certains de ces chercheurs du NUDT sont des experts des systèmes de performance et de guidage des missiles, de la robotique mobile et de la surveillance automatisée.
Le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) a même averti que Pékin utilise de plus en plus des programmes de recherche universitaires conjoints pour obtenir une science et une technologie innovantes à des fins économiques et militaires.
NUDT a été mis sur liste noire par les États-Unis en 2015 – soumis à des restrictions à l’exportation – sous l’administration de l’ancien président américain Barack Obama parce que Washington estime qu’il « est impliqué ou présente un risque important d’être ou de devenir impliqué dans des activités contraires à la sécurité nationale ». ou les intérêts de politique étrangère des États-Unis.
Le NUDT rend compte à la Commission militaire centrale du Parti communiste chinois et a été salué par le président Xi Jinping comme un « plateau pour la formation de nouveaux militaires de haute qualité et pour l’innovation indépendante dans la technologie de défense nationale ».
Aux côtés des universités publiques canadiennes, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG), un organisme de financement fédéral, a contribué à des projets menés avec des scientifiques militaires chinois.
Parmi les collaborations sur la technologie quantique figurent des recherches financées conjointement par les gouvernements chinois, russe et canadien qui ont utilisé des lasers pour tenter de pirater des systèmes cryptographiques quantiques, une méthode de pointe de communications sécurisées qui pourrait bénéficier à l’APL.
En termes simples, la Chine utilise des cerveaux canadiens brillants pour renforcer sa propre armée et ainsi obtenir un avantage tactique dans la rivalité de grande puissance entre Pékin et le bloc occidental dirigé par les États-Unis.
Comme prévu, Trudeau, amoureux de la Chine, n’a pris aucune mesure pour décourager les collèges canadiens de s’associer à la Chine. Aucune des 10 meilleures universités engagées dans des projets avec NUDT, la principale institution scientifique de l’Armée populaire de libération, ne s’est engagée à interdire à ses chercheurs de mener des recherches supplémentaires avec l’université. Ottawa ne leur a pas ordonné de cesser de travailler avec des scientifiques militaires chinois. Rien ne changerait tant que le gouvernement n’agirait pas.
Trudeau n’a pas le culot de critiquer la Chine en public.
Lui et tout son cabinet sont allés jusqu’à s’abstenir de voter sur une motion au Parlement canadien intitulée « Les Ouïghours en Chine ont été et sont l’objet d’un génocide ».
En réalité, il continue de travailler avec la Chine malgré le fait qu’elle complote et fait chanter le Canada à plusieurs reprises. Les libéraux fédéraux ont même attribué un contrat technologique de la GRC à une entreprise liée à la Chine qui est interdite aux États-Unis.
Trudeau n’a même pas tenté d’affronter le régime chinois voyou après d’importantes provocations. Par exemple, la Chine a surnommé le Canada le «chien courant des États-Unis», mais Trudeau n’a fait aucun effort pour répliquer. De plus, nous avons tous vu Xi Jinping rabaisser Trudeau en public. Les intérêts nationaux du Canada pourraient être compromis en raison de l’affection de Trudeau pour la Chine. Mais hélas, quand Trudeau a-t-il déjà fait preuve d’une solide politique stratégique ?
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