Séance de vaccination contre le papillomavirus à l’école de jarnac, avec Macron

Non seulement c’est un vaccin archi controversé, mais en plus, on se demande ce que Macron vient faire dans une école charentaise pour ce genre de clownerie !

C’est simple, il vient constater à quel point les français sont cons !

Via Nexus :

Emmanuel Macron s’est rendu le mardi 28 février au collège charentais Jean Lartaut à Jarnac pour assister à une séance de sensibilisation au HPV, ainsi qu’à une séance de vaccination organisée au sein même de l’établissement. Un événement qui n’est pas du goût de tous les parents.

Aux côtés du ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et du ministre de la Santé et de la Prévention,  dans cet établissement scolaire de Charente, l’un des deux départements pilotes pour la vaccination gratuite à l’école, Emmanuel Macron reviendra sur « son ambition de renforcer une médecine tournée vers la prévention, dès le plus jeune âge. »

L’occasion de mettre à nouveau et à outrance la vaccination contre le papillomavirus sur un piédestal en ignorant superbement les chiffres alarmants que nous renvoient, après vaccination massive, des pays comme l’Australie, la Suède et la Grande-Bretagne.

Enjoliver le tableau

Une fois de plus, dans les médias comme France 3, la vaccination est présentée comme une façon possible « d’éradiquer le virus ».  Rien que ça ! Bien entendu, l’efficacité du produit contre les infections à papillomavirus (ou HPV) n’est pas remise en question une seconde. Pas une demi-ligne non plus sur les effets secondaires potentiels ou avérés, ni sur la balance bénéfices-risques.

Une réalité plus complexe

Notre article « Gardasil, le scandale continue » paru dans notre magazine n° 145 actuellement en vente en kiosque et en ligne, fait état de plusieurs données qui viennent noircir le joli tableau officiel qu’on nous montre. Le Dr Delépine, oncologue évoque notamment  l’augmentation de l’incidence des cancers du col depuis la vaccination en Suède, « confirmée et commentée par tous les articles scientifiques publiés depuis plus de dix ans ».

Il souligne également qu’en Grande-Bretagne, « on observe, depuis les campagnes de vaccination, la même évolution paradoxale qu’en Australie et en Suède associant l’absence de diminution globale d’incidence sur l’ensemble de la population, à une augmentation d’incidence chez les femmes âgées de 25 à 34 ans (groupe le plus vacciné) comme le rapporte cette capture d’écran de la figure publiée sur le site officiel ».

Des parents qui s’insurgent

À l’annonce de la venue d’Emmanuel Macron dans ce collège, un des groupes du collectif Les parents en colère a envoyé le 27 février un email à M. Gaurichon, principal de l’établissement, afin de porter à sa connaissance «  les nombreux effets indésirables, actions en justice et avis de spécialistes » au sujet des infections à papillomavirus humains. Ils lui ont aussi « rappelé le cadre juridique et les possibles responsabilités » auxquelles il pourrait s’exposer et soulignent l’importance du consentement préalable à la vaccination, de l’autorité parentale des deux parents et du secret médical.

Un parent, un élève ou un enseignant qui oserait remettre en question ou simplement douter des bienfaits des vaccins contre le HPV se verra-t-il opposer la carte de l’ignorance, voire du complotisme, comme Olivier Véran a su si bien le faire avec le vaccin anti-Covid ?

Article par Estelle Brattesani

Et pendant ce temps là, la CGT organise une manif …

A Jarnac, c’est l’arnaque pour ces pauvres gamines qui vont se faire injecter un vaccin qui ne sert à rien, sauf à créer des problèmes qu’elles n’auraient pas eu sans …

Mais la réforme des retraites, ça … Oui ce truc là, génère du monde.. Et Macron doit bien se marrer ! Car ce sont des soignants qui manifestent pendant qu’on empoisonne les enfants avec des vaccins dangereux.. !

Selon la Charente Libre :

Alors qu’Emmanuel Macron, accompagné de Pap Ndiaye, le ministre de l’Éducation nationale, et François Braun, ministre de la Santé, doit arriver après 14h à Jarnac, une quarantaine de manifestants ont répondu à l’appel de la CGT et sont réunis sur la place du château, au centre-ville. Leur mot d’ordre : non à la réforme des retraites.

Parmi ces manifestants, beaucoup de soignants, de l’hôpital d’Angoulême et de Camille-Claudel, mais aussi des enseignants mobilisés contre la réforme des retraites. Mais pas que. Céline Maroggi a fait le déplacement en voisine. Elle est aide-soignante depuis 20 ans à l’hôpital d’Angoulême et veut alerter le président sur la dégradation de l’hôpital public. « Les gens sont cassés, le métier est pénible, il y a de plus en plus de services qui passent en douze heures. Des jeunes infirmières arrivent et négocient leur salaire et gagnent autant que des infirmières qui ont 15 ans d’expérience », déplore-t-elle, rappelant les fermetures de lits dans les hôpitaux de Charente.

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