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Les Banques s’attaque à Israël alors que le pays est en train de se débarrasser de la gauche mondialiste

Netanyahu ne tolèrera pas la politique marxiste/mondialiste de la Cour Suprême.

Avertissement de la JPMorgan : Israël présente un risque d’investissement plus élevé !

La JPMorgan a averti qu’Israël présente un risque d’investissement plus élevé en raison des récents développements associés à l’ascension du nouveau gouvernement de Benjamin Netanyahou.

« Les marchés locaux d’Israël ont connu une flambée du risque idiosyncratique, les tensions géopolitiques accrues s’ajoutant aux préoccupations des investisseurs concernant les projets de réformes judiciaires », a déclaré la JPMorgan dans un mémo rapporté en premier lieu par la chaîne israélienne Channel 12.

L’analyse approfondie et négative de la grande société multinationale intervient quelques jours seulement après que Netanyahou eut affirmé que la JPMorgan et Goldman Sachs ne s’inquiétaient pas de l’effet des propositions judiciaires.

« Les marchés doivent probablement envisager un risque de primes de risque plus élevées de manière persistante étant donné l’orientation moins centriste du gouvernement actuel« , a écrit le bureau de recherche sur les marchés émergents européens de la JPMorgan.

Dans son propre avertissement apparemment similaire posté en interne jeudi, puis diffusé sur Twitter vendredi, Barclays a été plus franche et l’a qualifiée de « coalition fortement droitière ».

Le gouvernement de Netanyahou a proposé un ensemble de réformes judiciaires qui affaibliraient la Cour Suprême du pays qui est notoirement à gauche. Une réforme permettrait à la Knesset  d’annuler les décisions de la Cour suprême par un vote à la majorité simple.

« Les réformes judiciaires proposées ont déclenché d’importantes protestations locales à différents niveaux, avec des inquiétudes concernant la force institutionnelle du pays et l’impact négatif potentiel sur les flux d’investissement et la croissance », écrit la JPMorgan.

Une exagération de ces protestations dont les médias se font les porte paroles, oubliant que le gouvernement Netanyahu a été voté à la majorité et sans qu’il y ait eu de fraude électorale, comme au BRÉSIL ou aux ÉTATS-UNIS. Nous avons pu remarquer que les manifestations au Brésil n’ont pas été couvertes par les médias… !

Cherchant un exemple des retombées potentielles des réformes judiciaires, les auteurs de la JPMorgan pointent du doigt la Pologne.

« Suite aux réformes judiciaires en Pologne, S&P Ratings a abaissé sa note de crédit souverain en janvier 16 à BBB+ (contre A-). » Notant que la note de crédit d’Israël « se situe confortablement dans la catégorie investissement », le mémo indique que la réaction à une promulgation par Israël des réformes proposées devrait être « modeste. »

Le cabinet souligne également le risque à moyen terme pour les flux d’investissement vers Israël :

« Des rapports récents suggèrent que certaines institutions étrangères ont déjà commencé à retirer leurs fonds d’Israël en raison des inquiétudes suscitées par les projets de réforme judiciaire. Le secteur de la technologie a été relativement bruyant dans l’expression de son opposition. »

Les risques ne sont pas seulement associés au système juridique israélien. La JPMorgan cite également une augmentation des « hostilités géopolitiques ». Le mémo de Barclays Macro Research développe ce thème :

« La réitération de la stratégie d’Israël de s’opposer ‘ouvertement’ à toute tentative de l’Iran de développer son programme nucléaire, les récentes frappes présumées de drones sur les installations militaires de l’Iran et les discussions avec les États-Unis sur les efforts conjoints contre l’accord nucléaire de l’Iran…En outre, la récente ré-escalade des questions israélo-palestiniennes, y compris la politique du gouvernement de droite en Cisjordanie, augmentent l’instabilité géopolitique dans la région. »

En France, Netanyahou a affirmé avoir rencontré 60 hommes d’affaires français qui lui ont dit :

« Ce qu’ils disent à propos de la fuite des investisseurs est absurde. Nous voulons augmenter nos investissements en Israël. »

AGENCE DE NOTATION « MORNINGSTAR ».

Une société, spécialisée dans l’évaluation des investissements sur la base de critères de responsabilité sociale, a fait une annonce spéciale mercredi dans laquelle elle a déclaré Israël comme « un pays à faible risque ».

Cette qualification est un signal pour les investisseurs qu’il est peu probable qu’ils soient empêtrés dans des violations des droits de l’homme ou d’autres scandales s’ils placent leur argent en Israël.

C’est aussi une assurance destinée aux défenseurs pro-israéliens qui ont accusé l’entreprise de partialité contre Israël.

L’annonce de la société de recherche financière Morningstar, basée à Chicago est la dernière entrée dans un débat sur la façon dont les entreprises du monde entier devraient considérer le conflit israélo-palestinien.

Pourquoi la Cour suprême est prise pour cible par le gouvernement

Voilà des années que la droite israélienne accuse les juges de la Cour suprême d’avoir confisqué le pouvoir des députés démocratiquement élus par le peuple.

Les mêmes reproches reviennent en boucle : une petite élite se serait érigée en un « gouvernement des juges ». Elle se serait arrogé le droit d’annuler des lois ordinaires votées par la Knesset. Tout-puissants, ces juges, fortement marqués à gauche, entraveraient l’action de l’exécutif. Leurs arrêts seraient purement idéologiques. Et leur nomination relèverait d’un système de cooptation opaque.

Israel Aumann, prix Nobel d’Économie en 2005, vient de dénoncer « l’activisme de la Cour suprême » et ses décisions « tendancieuses, orientées nettement à gauche », affirmant que les juges « se nomment eux-mêmes et choisissent des magistrats qui pensent comme eux » et allant jusqu’à parler de « dictature du pouvoir judiciaire ».

De même, le magazine américain Newsweek critique la « juristocratie » israélienne qui se serait arrogé « un pouvoir sans précédent pour une Cour suprême dans une démocratie de type occidental », usurpant le pouvoir d’« annuler n’importe quel texte de loi à tout moment, pour quelque raison que ce soit ».

Ces accusations ont justifié les initiatives du nouveau ministre de la Justice, Yariv Levin, nommé fin décembre 2022, destinées à réduire significativement les prérogatives de la Cour suprême. Il projette, avec le soutien de Benyamin Nétanyahu, de faire adopter la « clause du contournement », qui permettrait aux parlementaires de revoter au bout de trois mois une loi ordinaire annulée par la Cour suprême, à une majorité non qualifiée de 61 députés sur les 120 que compte la Knesset. Auquel cas la loi annulée serait déclarée valide.

Le ministre souhaite également peser sur les nominations des juges, pour « mettre fin à (leur) élection par leurs confrères ».

Un programme que ne renierait pas Donald Trump, effectivement ! C’est un programme anti marxiste/mondialiste… !!! Et que les banquiers mondialistes et les médias vassaux du WEF ne soient pas contents, c’est évident.


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