George Soros, le chéri des islamistes
Bien que récemment, George Soros, un chouchou extrêmement controversé et fou des djihadistes et des islamistes, ait fait la une des journaux de la région pour ses remarques infâmes contre le Premier ministre indien Narendra Modi, Soros a toujours été anti-hindou et anti-indien.
En octobre 2020, alors qu’il s’adressait au public du Forum économique mondial de Davos, il a qualifié les forces nationalistes patriotiques de l’Inde de « grand ennemi » et s’est engagé à faire don d’un milliard de dollars pour la création d’une université musulmane en Inde « pour lutter contre les gouvernements autoritaires ».
Une université musulmane pour lutter contre les gouvernements autoritaires ? Vraiment ?
Dans ce cas, il est essentiel de demander à cet homme maléfique : les dirigeants talibans en Afghanistan et le régime des mollahs en Iran ne sont pas « autoritaires » ? Qu’en est-il de la plupart des pays arabes, y compris le Qatar, pas autoritaires ? L’Autorité palestinienne, le Hamas, l’Iran, pas autoritaires ?
Soros considère-t-il les Talibans, les mollahs iraniens, le Jihad islamique, al Qaida et le régime qatari et d’autres comme eux comme « non autoritaires » ?
On peut aussi se demander si George Soros comprend le sens du mot « autoritaire », ou s’il veut imposer sa propre définition du mot en ne reconnaissant que ses propres marionnettes comme « non autoritaires ».
1 En juillet 2021, George Soros s’est mis en colère lorsqu’il a été rapporté dans les médias que la Cour européenne de justice avait imposé une interdiction aux femmes en déclarant que « les employeurs européens peuvent interdire aux travailleurs de porter tout signe visible de leurs convictions politiques, philosophiques ou religieuses ».
Soros s’est exprimé sur son compte Twitter en déclarant :
« Dans un revers pour l’égalité et la participation des femmes musulmanes à la vie publique, un tribunal européen juge que les employeurs privés peuvent licencier des travailleurs pour avoir porté un foulard et d’autres symboles religieux ».
2 En août 2016, Clifford D May, fondateur et président de la Fondation pour la défense des démocraties (FDD), écrivait : « … Il y a environ cinq ans, un effort concerté était en cours pour me diffamer, moi et l’institut de politique de sécurité nationale que j’ai fondé juste après les attentats du 11 septembre. L’objectif était de nous faire passer pour des « islamophobes » – des haineux, des racistes et des bigots qu’il fallait fuir, chasser de la place publique et faire taire.
Ce que je ne savais pas alors, c’est que cette campagne de dénigrement était financée par …George Soros. »
3 Le 16 août 2016, le Middle East Forum (MEF) a déclaré dans un rapport : Le 13 août, un site web anonyme (dcleaks.com) a publié plus de 2 500 dossiers confidentiels provenant des fondations Open Society (OSF) de George Soros, mettant en lumière le financement par le milliardaire des fonds spéculatifs d’organisations anti-israéliennes et pro-islamistes.
4 Le 18 avril 2020, le Washington Free Beacon a écrit dans un rapport: « Emgage, Un groupe musulman soutenu par George Soros et plus grand PAC musulman des Etats-Unis, qui a co-organisé avec les Frères musulmans une conférence qui invite des orateurs qualifiant l’homosexualité de « maladie », et défend des groupes terroristes, a annoncé son soutien à Joe Biden pour la présidence ».
Le groupe a cité les promesses de M. Biden de mettre fin aux interdictions de voyager du président Donald Trump, d’augmenter le plafond d’admission des réfugiés et de réviser le système d’immigration. M. Biden s’est dit « honoré » de recevoir ce soutien. Evidemment.
5 Le 11 mai 2018, le Valuers Actuelles, expliquait dans un éditorial : George Soros est « un homme qui souhaite l’installation d’au moins un million de migrants par an en Europe, l’abolition des frontières, des condamnations pour crimes et délits plus légères pour les migrants que pour les autochtones, la disparition de l’Ouest identitaire ou encore des sanctions extrêmement sévères pour les pays refusant d’accueillir les clandestins les yeux fermés.
6 Le 10 octobre 2016, The Algemeiner, dans une tribune intitulée « Comment l’argent de George Soros et un groupe de défense des droits des musulmans ont sapé la sécurité intérieure », a déclaré : « Un groupe juridique musulman, doté d’une subvention de 1,8 million de dollars provenant de l’Open Society Foundations (OSF) de George Soros, a contribué à influencer des changements politiques majeurs dans la guerre contre le terrorisme, notamment le filtrage par le ministère de la sécurité intérieure des personnes soupçonnées d’avoir des liens avec le terrorisme et le programme de formation du FBI pour ses agents travaillant dans le domaine du contre-terrorisme. »
7 En août 2016, le Washington Times a affirmé dans un éditorial : « George Soros a financé le discrédit des critiques de l’islam radical, ainsi que des universitaires et des journalistes menant des recherches sur les racines historiques et les expressions contemporaines de l’islamisme, par exemple, Al-Qaïda, les Frères musulmans et la République islamique d’Iran ».
8 Le 6 février 2023, les conservateurs européens, dans un rapport exposant les liens entre les Frères musulmans, les islamistes et George Soros, ont déclaré : « La Commission européenne a nommé l’ancienne diplomate Marion Lalisse au poste de coordinatrice de la lutte contre l’islamophobie. Les ONG financées par Soros et le Conseil des musulmans européens ont salué la nomination de Mme Lalisse. Cette nomination n’est toutefois pas sans soulever des objections concernant les relations de la Commission avec des groupes d’activistes favorables aux islamistes qui font campagne sur la question de l’islamophobie.
Et George Soros a déclaré le djihad contre l’Inde et le Premier ministre Narendra Modi.
Christian Larnet pour Dreuz.info.
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