FRANCE: La Caisse d’Allocation Familiale devient WOKE
Au lieu de s’occuper de la famille, la CAF fait de la propagande pour le phénomène transgenre… qui ne concerne que 0,3% de la population !

Non contente d’utiliser le vocabulaire militant, le site de la CAF propose aux familles de “se tourner vers les associations LGBTQI+” alors qu’il s’agit d’organismes militants, idéologiques, sans expertise médicale ni scientifique.
Cette démarche de la CAF est Irresponsable vu les conséquences irréversibles d’une transition, même uniquement hormonale.
« La #dysforie de #genre enfantine est un délire criminel #progressiste.
Quand la #CAF prévoit de faire de la #propagande #LGBT dans les #écoles, faudrait qu’elle dise combien d’actions elle prévoit dans le 93 ou au nord de #Marseille.
Ils y seront reçus ! »@CNEWS@OKeranflech pic.twitter.com/TTcs2RbX2n— Jean MESSIHA (@JeanMessiha) February 19, 2023
« Le #gender fluide c’est de considérer qu’on peut être un mec le lundi et une gonzesse le mardi.
S’il est officialisé un jour, on va #Evidemment bien se marrer au moment des listes électorales où la parité est exigée ! »@CNEWS@OKeranflech pic.twitter.com/fUMns6HAt3— Jean MESSIHA (@JeanMessiha) February 20, 2023
Selon une étude canadienne :
La proportion de personnes de genre non binaire de tout âge est de 0,07 %. La proportion de personnes de genre non binaire est trois fois plus élevée chez les personnes de moins de 35 ans (0,11 %) que chez celles de 35 ans ou plus (0,02 %).
Selon les résultats du Test du recensement de 2019, l’estimation (en pourcentage) de la population transgenre, y compris les personnes non binaires, est de 0,35 %, ce qui semble réaliste à la lumière de résultats provenant d’autres sources, tant nationales qu’internationales.
Selon une étude française menée par le California LGBT Tobacco Survey :
Le California LGBT Tobacco Survey de 2003 a révélé que 3,2% des personnes LGBT s’identifient comme transgenres.
En 2011, on estime que 0,3% des adultes aux États-Unis sont transgenres (3).
En 2016, on en compte 0,6%, soit deux fois plus (4).
Donc la CAF fait de la propagande pour pousser les enfants à devenir transgenre alors que cela ne concerne qu’une infime minorité…
Dans une lettre ouverte au ministre de la Santé, les 80 signataires, professionnels de santé, intellectuels, universitaires, parmi lesquels Élisabeth Badinter, Jean-François Braunstein, Caroline Eliacheff et Céline Masson, demandent à François Braun de faire cesser cette désinformation.
« Nous tenons à alerter M. le ministre de la Santé, François Braun, de la diffusion par un organisme dont il a la tutelle – la Caisse nationale d’allocations familiales – d’un texte dont la subjectivité et la dangerosité nous ont interpellés.
La page du magazine Vies des familles du site internet caf.fr intitulée «Mon enfant est transgenre. Comment bien l’accompagner?» , mise en ligne le 25 janvier 2023, présente la théorie de l’affirmation du genre comme un fait avéré. Or, non seulement cette théorie ne repose sur aucun fondement scientifique, mais en outre elle rejette une donnée biologique, scientifique, incontestable: l’espèce humaine est constituée de deux sexes, mâle et femelle, et de deux genres, le féminin et le masculin.
À ce titre, la phrase du premier paragraphe «Et le genre n’a rien à voir avec la sexualité» ne peut que laisser perplexe. Avec quoi le genre aurait-il à voir, alors?
D’autre part, les seules références, les seules paroles exposées sont celles de deux militantes des droits des personnes transgenres. Jamais il n’est fait référence à de véritables spécialistes de l’enfance et de l’adolescence, psychologues, médecins ou biologistes.
Jamais il n’est fait mention d’un soutien psychologique que des professionnels pourraient apporter aux enfants et aux parents, conformément aux recommandations de l’Académie de médecine : « (…) une grande prudence médicale doit être de mise chez l’enfant et l’adolescent, compte tenu de la vulnérabilité, en particulier psychologique, de cette population et des nombreux effets indésirables, voire des complications graves, que peuvent provoquer certaines des thérapeutiques disponibles. (…) Aussi, face à une demande de soins pour ce motif, est-il essentiel d’assurer, dans un premier temps, un accompagnement médical et psychologique de ces enfants ou adolescents, mais aussi de leurs parents, d’autant qu’il n’existe aucun test permettant de distinguer une dysphorie de genre “structurelle” d’une dysphorie transitoire de l’adolescence. »
Jamais il n’est fait état des causes et vecteurs de diffusion de cette mode délétère. Or, via les réseaux sociaux, ce sont pour l’essentiel des « vlogueurs » et blogueurs militants trans-activistes qui propagent cette vague de « conversions » socialement destructrice.
Par des allégations mensongères, ces « influenceurs » induisent des enfants et des adolescents fragiles à s’engager dans de longues et coûteuses thérapies physiologiquement et psychologiquement invalidantes. Et irréversibles.
Compte tenu de ces remarques, nous demandons au ministre :
– de faire retirer sans délai du site internet de la CAF cette page de désinformation dont les lacunes et la partialité déshonorent l’organisme émetteur et par conséquence votre ministère ; – compte tenu de la gravité du problème de santé publique que représente la multiplication instrumentalisée des demandes d’inversion de sexe chez les préadolescents et les adolescents, d’engager la rédaction d’une nouvelle page d’information, sous l’égide de véritables spécialistes – psychologues, médecins, biologistes… – en tenant compte des prudentes recommandations de l’Académie de médecine. Cette page d’information alerterait les familles sur les manipulations mentales dont sont victimes les jeunes par le biais des réseaux sociaux et proposerait des aides préventives que ces professionnels seraient à même d’apporter aux parents et aux enfants.
Élisabeth BADINTER, philosophe ; Anne-Laure, BOCH, neurochirurgienne, praticienne hospitalière ; Jean-François BRAUNSTEIN, professeur émérite de philosophie ; Guylain CHEVRIER, historien ; Joseph CICCOLINI, professeur des Universités ; Anaïs DE FURSAC, modèle photo, transsexuelle ; Catherine DOLTO, médecin ; Caroline ELIACHEFF, pédopsychiatre, codirectrice de l’Observatoire de la petite sirène ; Gérard FITOUSSI, psychanalyste ; Christian FLAVIGNY, pédopsychiatre, psychanalyste ; René FRYDMAN, médecin ; Claude HABIB, professeur émérite de littérature ; Nathalie HEINICH, sociologue ; Emmanuelle HENIN, professeur des Universités ; Céline MASSON, professeur des Universités, psychanalyste, codirectrice de l’Observatoire de la petite sirène ; Israël NISAND, professeur émérite de gynécologie obstétrique ; Michaël SAADA, psychiatre ; Xavier-Laurent SALVADOR, maître de conférences HDR, président du LAIC ; Didier SICARD, médecin ; Jean SZLAMOWICZ, professeur des Universités, linguiste ; Pierre-André TAGUIEFF, directeur de recherche au CNRS ; Pierre VERMEREN, historien ; Jean-PierreWINTER, psychanalyste ; Yves-Charles ZARKA, philosophe
Juristes pour l’Enfance demande à la CAF le retrait de l’article « Mon enfant est transgenre, comment bien l’accompagner »
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